Une vie en noir et blanc, ponctuée de couleurs
exposition à la galerie les Métamorphozes jusqu'au 18 juin 2013
Sellem
Thierry peint uniquement en noir et blanc, sa position en tant qu'artiste ayant
pour support le street art ne manque pas de source d'inspiration.
Bohin Philippe nous transporte par ses photos, en Inde, la chaleur épaisse, les senteurs épicées, les couleurs exacerbées le mystique et ses rites, les gens tout simplement .
Cadet Kévin, ses assemblages de rues aux perspectives sans fin qui nous entrainent dans ce grand infini, toujours au crépuscule.Il est perpétuellement étonné de constater les transformations que subit notre cadre de vie.
Chardon Philippe, photographies re travaillées à l'ordinateur, inspirées par l’observation de l’humain, ses images constituent une réflexion sur la perception du réel et la place de l’homme dans le monde : il s’agit d’un jeu d’aller retour permanent du rêve à la réalité. La réalité devient virtuelle
Douard Maurice, l’on retrouve la rigueur de construction qu’il utilise dans ses peintures ou ses rares mises en scènes d’artiste, de l’argentique qu’il utilise pour le grain spécifique des films noirs et blancs ou des couleurs délavées des vieilles pellicules, au numérique pour le lissé des images couleurs, le monde que capte cet artiste éclaire notre regard sur ce qui nous entoure au quotidien.
Magritte Martine, sculpteur puisant presque toujours, dans l’actualité sanglante, les larmes de son inspiration, elle possède ce don surprenant de condenser en une seule figure tous les enjeux humains qui planent autour d’un événement.
Mc Laughlin Lawrence, « Le monde intérieur de la sculpture est rendu évident par l'effet des sens. EIle porte l'oeil, l'instrument de la conscience optique, sur leur corps et il nous guide pour regarder vers le milieu, au coeur.
Hubert "Pit" Patrice,sculptures aux formes ligneuses pour une circulation d’énergie et un exosquelette métallique baroque revisité avec les lames, les épines et les griffes. L’expression d’un danger devant des corps où la chair accueillante et douce laisse place au froid et intrusif métal animé.
Bohin Philippe nous transporte par ses photos, en Inde, la chaleur épaisse, les senteurs épicées, les couleurs exacerbées le mystique et ses rites, les gens tout simplement .
Cadet Kévin, ses assemblages de rues aux perspectives sans fin qui nous entrainent dans ce grand infini, toujours au crépuscule.Il est perpétuellement étonné de constater les transformations que subit notre cadre de vie.
Chardon Philippe, photographies re travaillées à l'ordinateur, inspirées par l’observation de l’humain, ses images constituent une réflexion sur la perception du réel et la place de l’homme dans le monde : il s’agit d’un jeu d’aller retour permanent du rêve à la réalité. La réalité devient virtuelle
Douard Maurice, l’on retrouve la rigueur de construction qu’il utilise dans ses peintures ou ses rares mises en scènes d’artiste, de l’argentique qu’il utilise pour le grain spécifique des films noirs et blancs ou des couleurs délavées des vieilles pellicules, au numérique pour le lissé des images couleurs, le monde que capte cet artiste éclaire notre regard sur ce qui nous entoure au quotidien.
Magritte Martine, sculpteur puisant presque toujours, dans l’actualité sanglante, les larmes de son inspiration, elle possède ce don surprenant de condenser en une seule figure tous les enjeux humains qui planent autour d’un événement.
Mc Laughlin Lawrence, « Le monde intérieur de la sculpture est rendu évident par l'effet des sens. EIle porte l'oeil, l'instrument de la conscience optique, sur leur corps et il nous guide pour regarder vers le milieu, au coeur.
Hubert "Pit" Patrice,sculptures aux formes ligneuses pour une circulation d’énergie et un exosquelette métallique baroque revisité avec les lames, les épines et les griffes. L’expression d’un danger devant des corps où la chair accueillante et douce laisse place au froid et intrusif métal animé.
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